Merci beaucoup, je peux en dire autant de toi, car les deux textes que tu as proposés sont géniaux, bien que tu les aies écrits à l'âge de 13 ans!

Sinon, je vous propose quelques chansons (refrain en gras) :
OniriqueJe sens la douleur sur ma peau, la peine dans mon âme
Pourquoi me bouscules-tu, aimes-tu faire verser des larmes?
Je coupe le lien qui nous relie, toutes ces joies je les renie
Emprisonné dans tes filets, je rêve pour me délivrer
Dieu onirique, emporte-moi loin de ces coups de mes émois
Valse onirique, emméne-moi dans tes méandres loin des lois
Misére et solitude, toutes les routines et habitudes
Casse le verre de la sombre ivresse, protége-moi pour cette nuitLune de glace, je t'en supplie, redeviens celle de mes nuits
La douce, l'innocente, le diamant du sans-souci
Lune, je te dédie cette ballade, entend-la
Illumine mes envies, donne vie à mes songes
Eloigne cet être qui me rongeAu gré du vent je suis l'oubli, je veux le vide
Au fil du temps je suis l'ennui, je sens l'avide
Les froides mains sur mon visage, la brûlure des présages
Les songes d'hiver s'en sont allés, je suis redevenu jouet
Dieu onirique, emporte-moi loin de ces coups de mes émois
Valse onirique, emméne-moi dans tes méandres loin des lois
Misére et solitude, toutes les routines et habitudes
Casse le verre de la sombre ivresse, protége-moi pour cette nuit
Dieu onirique, surmonte avec moi mes horreurs
Valse onirique, reviens vers moi tout en douceur
Lumière et similitude, quant au passé, mes habitudes
Casse le verre de la sombre ivresse, protége-moi pour cette vie
SkadiQuand la poudreuse chasse le bel Hélios
Et que reviennent les beaux jours mal-aimés
Une euphorie hivernale emplit mon âme
Un bouclier se couvre sur mon derme caché
Sous tes bras bienfaisants, ton voile immense
Toutes les peines juvéniles sont vite oubliées
Je sens ton souffle, j'écoute mon coeur qui clame
De joie si tant convoîtée, Ô Skadi, je suis libéré
Tant que le noir s'imposera au prématuré crépuscule
Que la neige diluvienne annoncera l'attendu solstice
Ô Skadi parséme ma vie de ta propre canicule
Apaise les démons de tes mains bienfaitricesUn torrent glacial étouffe les jours
Savourés perché sur mon arbre blanc
Ta douce froideur écrase le passé
Ô là, laisse-moi arrêter le temps
Cet hiver me semblera encore si court
Comme tous ces moments, comme tous ces instants
Passés sur le chemin que tu m'as dessiné
Ô Skadi, je te prie depuis si longtemps
Couvre ce corps détestable
Cache les collines exécrables
Tant que le noir s'imposera au prématuré crépuscule
Que la neige diluvienne annoncera l'attendu solstice
Ô Skadi parséme ma vie de ta propre canicule
Apaise les démons de tes mains bienfaitricesLes nuits défilent, le sable s'agglutine
Derrière le verre je vois tes mains dessinant
Ma délivrance, mais tu disparais vraiment
Reviennent alors mes tristes mines
Tant que le noir s'imposera au prématuré crépuscule
Que la neige diluvienne annoncera l'attendu solstice
Ô Skadi parséme ma vie de ta propre canicule
Apaise les démons de tes mains bienfaitrices
Songe d'une nuit d'étéLa fée m'a endormi près de la rivière tranquille
L'eau était pourpre, j'y ai trempé mon exil
Les démons ont surgi du sombre infini
Plus la force, je suis soumis...
Veuve noire, pourquoi m'as-tu améné ici?
Sorcière, qui es-tu pour m'avoir trahi?
Veux-tu sentir ma peine, veux-tu me tailler les veines?
Plus la force, j'ai tant souffert
Juste le songe d'une nuit d'été
Espoir, où te caches-tu, m'as-tu abandonné?
Victoire, je ne te vis plus, m'aurais-tu oublié?
Sans but, sans présence, sans rêve, sans silence
Juste le coeur et l'âme blessés
Et le songe d'une nuit d'été
Disparu dans les ténébres...
Face à face contre les fantômes...
J'ai vécu le monde, la fièvre...
Je ne suis vraiment plus un homme...
Réveillez-moi
Endormez-les
Veillez sur moi, hypnotisé
Laissez sur moi l'empreinte du passé
Mais où es-tu ma fée?
Un silence pour parler
Une simple éternité
Un rêve dérobé
Un destin volé
Rien que le songe d'une nuit d'été
PourpreComment d'une simple brindille ai-je pu innonder le sol
De son sang tant détenu, comment ai-je joué le bémol
Pourquoi d'une intruse détonation lui ai-je fait perdre la raison
Pourquoi le brouillard prend possession au milieu de cette saison
Doit-il mourir pour se délivrer du voile de l'innombrable damnée
Doit-il souffrir pour l'éloigner de ses deux yeux ensanglantés
Un invisible coup au coeur l'a noyé dans la rivière
Gardée par le Féroce, ce sombre gardien mammifère
Allongé sur la triste Terre, il agonise et pleure sa courte vie
Il s'efforce à lui hurler "Paix à mon âme vers l'infini"
L'ombre plane sur son corps innocent et limpide
L'incontestable sentence jouit alors du liquide
Je la vois, elle hante ses pensées
Il la voit, elle emprisonne ses souhaits
Va le vent et emporte les vérités
Va le vent et cache ses secrets
Suis le feu et brûle ses péchés
Suis le feu et éloigne les damnés
Ludo... Ludo...Ce jeu a anéanti toute cette péripétie
Puérile à la chair, futile dans l'esprit
Perles d'une vie écourtée, l'or n'est plus à portée
Il est parti le corps innondé, tout son saoul s'est écoulé
Monde pourpre...
Simple InnocenceJe veux entendre les souvenirs et sentir l'odeur du passé
Je veux témoigner des faits, l'amour est-il éternel?
Je veux parler de jadis, des souffles dansant dans mon esprit
Dois-je connaître les sombres joies de ma vie?
L'argent odorant pousse aux printemps
Les jours fânés envahissent mes étés
Je pense à toi, simple innocence
Tu étais bien ma seule défense
Avec toi la vie n'est faite que d'insouscience
Sans toi la vie est sans clémence
On grandit sous les poids
On gravit seuls les pentes
On tombe à la renverse
Des monts d'espérance
On compte sur ses doigts
Chaque jour de descente
Des jours sans averses
De cette réminiscenceJe vois le noir sous mes pieds, je sens le vide dans mon âme
L'air est comme encombré, ma vie sera un drame
Courts moments de paix, catharsis pour aimer
Je te loue, Ô ange, donne-moi l'éternité
Une tristesse monotone surgit de l'automne
La fraîcheur d'un désert poursuit mes hivers
Je pense à toi, simple innocence
Tu étais bien ma seule défense
Avec toi la vie n'est faite que d'insouscience
Sans toi la vie est sans clémence
On grandit sous les poids
On gravit seuls les pentes
On tombe à la renverse
Des monts d'espérance
On compte sur ses doigts
Chaque jour de descente
Des jours sans averses
De cette réminiscenceJe veux l'ivresse d'un enfant jouant sur la terre éloignée
Je veux la soif d'un guerrier sauvant l'éternité
Je veux un jour d'avant, un jour sans défaillances
Je tire ma révérance
Ô Simple Innocence...
MisanthropieAgir selon l'instinct tueur
Est-ce là ma philosophie?
Je compte jour à jour vos heures
De mon coeur de pierre, ma misanthropie
Je vous exécreTous ces jolis souhaits ne me semblent que mensonges
Ma foi fidéle serait-elle maintenant de vains songes?
Je vois Judas en vous, je sens le Mal qui me ronge
A l'obscurité, je crie pour que vos corps s'allongent
A jamais dans le néant, sous la garde de spectres
A la lumière d'un feu follet, je vous exécre
Me cacher pour échapper à la vue d'une foule indésirable
Jour après jour, nuit après nuit, je fuis ce monde détestable
Exécrable est la lueur des longues nuits d'insomnie
Passer à vous maudir, compter vos heures, compter vos vies
De mon âme si tourmentée, de ma misanthropieToutes ces peurs sous chaque lune, chaque soleil, chaque ciel
Seriez-vous de ces démons voués contre le Matriciel?
Gorgez-vous d'eau diabolique amère aux yeux d'un fidéle?
A l'obscurité de ma vie, je crie pour vous voir sans elle
Sans ivresse éternelle, sous la garde des ténébres
Sous les rayons d'un soleil noir, je vous exécre
Me cacher pour échapper à la vue d'une foule indésirable
Jour après jour, nuit après nuit, je fuis ce monde détestable
Exécrable est la lueur des longues nuits d'insomnie
Passer à vous maudir, compter vos heures, compter vos vies
De mon âme si tourmentée, de ma misanthropieA jamais dans le néant, sous la garde de spectres
A la lumière d'un feu follet, je vous exécre
Sans ivresse éternelle, sous la garde des ténébres
Sous les rayons d'un soleil noir, je vous exécre
Jadis j'aimais vos présences si nécessaire à la mienne
Les idéaux, les pensées ne sont plus les mêmes
Je vous hais
Lux Deorum EstLes bougies du désespoir s'éteignent, les cierges du Mal fondent
Les éclaireurs pansent mes plaies qui saignent, le sombre dessein s'effondre
Je dévoue un oracle aux aurores, ces danses de lumière scintillantes
Dans le voile opaque qui couvre les trésors, je découvre un espoir naissant
Loin du venin dévastateur, je prie les cieux de m'écarter
Des flaques écarlates et de ce verglas mort-né
Les lignes nuageuses s'éloignent vers un monde malsain
Des piéges recouverts par les rayons des saints
Lux Deorum Est
Un éclair pour une insomnie, une chaleur pour une vie
Sainteté limpide, libére-moi des chaînes de l'oubli
Rêvassant d'un lointain soupir, je vous prie
Lux Deorum EstJe ne suis plus victime de cet arc désenchanté
Je subissais le monde de son insanité
Je vois la joie, les cris des enfants amusés
Je vous dois la folie, ô grandes divinités
Un éclair pour une insomnie, une chaleur pour une vie
Sainteté limpide, libére-moi des chaînes de l'oubli
Rêvassant d'un lointain soupir, je vous prie
Lux Deorum Est
Perles
Je te confie mes perles, mes secrets bien gardés
Toutes mes ivresses d'enfance, mes jouets abîmés
Toutes ces belles années, je ne veux pas les oublier
Beaucoup de souvenirs égarés, mais l'essentiel y est
Je te prête mes perles, mes démons assagis
Tous les anges du ciel, les raisons infaillibles
La beauté n'existe plus, mais je l'ai ressortie
De ce coffre à jouets, de ces livres perfectibles
Je le regarde à nouveau, ton visage sublimé
Je ne suis plus la même route, l'orage illuminait
Le chemin de la délivrance, un soupir divin
Qui me raméne mes chances, tout mes faits enfantinsJe leur dois toutes ces perles, toutes ces réminiscences
Des éléments brouillons, mais la mie en présence
Adieu corbeaux d'avant, bonjour les colombes
Je leur devrais ma bulle, et les fleurs sur ma tombe
Je te prête mes perles, mon esprit rafraîchi
Toutes ces nuits dehors avec les âmes sans merci
Je vois maintenant le monde à sa belle valeur
Les désaturations profondes deviennent couleurs
Je le regarde à nouveau, ton visage sublimé
Je ne suis plus la même route, l'orage illuminait
Le chemin de la délivrance, un soupir divin
Qui me raméne mes chances, tout mes faits enfantinsJe te confie mes perles, mes rêves pacifiques
Cachés sur une page d'un livre liturgique
God bless the child
Always and ever...
J'attend vos avis... Bonne lecture
